Moi, j’errais tout seul, promenant ma plaie Au long de l’étang, parmi la saulaie Où la brume vague évoquait un grand Fantôme laiteux se désespérant Et pleurant avec la voix de Senelle Qui se rappelaient en battant des ailes Parmi la saulaie où j’errais tout seul Promenant ma plaie ; et l’épais linceul
La saulaie me rappelle celles de Corot et Van Gogh... et la "Promenade sentimentale" de Verlaine!
RépondreSupprimerMoi, j’errais tout seul, promenant ma plaie
RépondreSupprimerAu long de l’étang, parmi la saulaie
Où la brume vague évoquait un grand
Fantôme laiteux se désespérant
Et pleurant avec la voix de Senelle
Qui se rappelaient en battant des ailes
Parmi la saulaie où j’errais tout seul
Promenant ma plaie ; et l’épais linceul