Morceau découvert à la projection du viscéral Holy Motors de Léos Carax. Shangols en parle mieux que je ne le ferais. Sinon, procurez-vous le dernier Mad Movies (n°250 de septembre) et lisez "Le Courrier des lecteurs" (faut faire vivre la presse indépendante !). Quoi qu'il en soit, le plan-séquence d'un Denis Lavant tournant et retournant dans une église avec son accordéon, suivi par une clique de plus en plus nombreuse (qui compte dans ses rangs Bertrand Cantat) m'a hérissé les poils. Pour comparaison, l'excellente version originale de R.L. Burnside, suivie par celle du film. 3, 12 ... Merde !
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